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 Gala (Avril 2011) Traduite

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Pauline
Admin
Pauline


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MessageSujet: Gala (Avril 2011) Traduite   Gala (Avril 2011) Traduite Icon_minitimeLun 25 Juil - 22:44

Florian dans le Gala du 7 avril 2011 (Allemagne).

Gala (Avril 2011) Traduite 3018452347_1_5_rqKlfF9E

Il n'était jamais venu au Deutscher Filmpreis (Prix du cinéma allemand) – même pas en tant qu'invité – et voilà qu'aujourd'hui il y est nominé deux fois. Le 8 avril prochain (2011), Florian David Fitz (36 ans), va concourir pour le très convoité LOLA, dans les catégories « meilleur acteur » et « meilleur scénario ». GALA a rencontré cet homme intelligent, véritable star montante, à Berlin et a passé la journée avec lui. Au programme : galeries d'art, balade, un bon steak et beaucoup de bavardages...

Quel film vous a récemment ému ?
Il y en a quelques uns mais le dernier qui m'a fait pleurer comme un bébé était « Toy Story 3 » – et d'habitude je ne pleure jamais ! (rires). Ça a l'air complètement absurde mais j'ai chialé pendant sept bonnes minutes sans m'arrêter. J'avais un peu honte et j'ai regardé à droite à gauche : les enfants s'éclataient et les parents pleuraient comme des madeleines.

Depuis vos nominations aux LOLA, vous êtes vu comme l'homme du moment. Le voyez-vous aussi comme ça ?
Cette dernière année a changé beaucoup de choses. Cependant, j'ai toujours peur : ce qui vole haut peut redescendre bien vite. Lisa Fitz, ma cousine au second degré m'a dit une fois : « il y a ce qu'il t'apporte et ce qu'il te prend ». Et elle avait raison. Le succès vous donne des opportunités que vous n'auriez jamais eues autrement mais il vous arrache aussi beaucoup de libertés.

Qu'est-ce que cela signifie pour vous ?
Ce qui est bien, c'est que maintenant des gens viennent me voir et veulent travailler avec moi. Et en ce moment, je suis sur mon nouveau projet, pour la première fois j'ai l'occasion d'être à la fois réalisateur et acteur. C'est un genre de comédie psychique qui va s'appeler « Jesus Loves Me » – d'où la barbe. Jessica Schwarz, Hannelore Elsner et Henry Hübchen vont jouer dans le film dont le tournage débutera dans un mois.

La chance a joué un rôle important dans votre succès ?
Absolument. Mais il y a ceux qui disent que le bonheur doit toujours venir d'un certain type de préparation. Certaines choses arrivent dans la vie, d'autres pas. Le fait qu'il ait plu pendant six semaines alors que « Vincent will meer » sortait au cinéma, durant le printemps, j'appelle ça de la chance parce que beaucoup plus de personnes sont allés dans les salles obscures.

Lorsque vous étiez étudiant, vous avez travaillé dans un « Christies » à New York – et vous avez été très proche d'un vrai Van Gogh...
C'était génial parce qu'ils vendaient de grands impressionnistes tels que Degas, Monet et Schiele. Et une fois, il y avait un Van Gogh. Comme je savais qu'il n'y avait pas de système d'alarme, j'ai pu le toucher. Et le lendemain, ce même tableau était vendu pour 70 millions de dollars.

Est-ce que vous achetez vous-mêmes des œuvres d'art ?
L'an dernier, j'ai acheté mon premier tableau dans une galerie, ici à Berlin, d'un artiste qui s'appelle Jaybo Monk. Il fait vraiment de bons trucs, dans la veine de Francis Bacon. Avant je peignais aussi. Pendant un temps, je ne faisais que des reproductions, des œuvres de Max Ernst, Gustav Klimt et ensuite j'ai fait du Mark Rothko, ses dernières œuvres qui étaient plus légères. Elles sont maintenant accrochées chez mes parents.

Si vous pouviez choisir un endroit où vous réveiller tôt demain, où serait-ce ?
Certainement à la mer ! Une telle vue de l'eau a un effet incroyablement apaisant. Lorsque nous étions dans les étapes finales du script de « Vincent will meer », on avait loué une maison à Ibiza – dans la pampa mais on pouvait voir la mer. Sinon, en Toscane, être simplement assis et lire, et à chaque fois qu'on lève les yeux de son bouquin, on est face à un paysage incroyable – ça vous fait juste quelque chose à l'âme.

Ça serait un rêve d'acheter là-bas ?
Un vrai rêve oui mais ça restera un rêve. Je le vois comme mes parents, qui sont très réalistes. Ils m'ont toujours dit : si tu achètes quelque part, il faut aussi que tu y habites. Et chaque maison serait alors facilement inhabitée. Je le constate déjà avec mon appartement à Munich, où je ne peux être constamment à cause de mon travail.


Vous rappelez-vous ce que vous avez acheté avec votre premier salaire ?
J'ai placé l'argent sur un compte ! (rires). C'était encore un salaire de comédien (théâtre) et ce n'était vraiment pas grand-chose. Mais après j'ai commencé à payer ma maison. J'ai trouvé un ancien commerce à Munich, qui était en chantier et j'ai eu un bon sentiment, « c'est la première chose que, seul, tu vas réellement posséder ».

Qu'est-ce que le luxe pour vous ?
Des choses dont on n'a pas forcément besoin mais que l'on peut apprécier, des choses qui font plaisir. Récemment, j'ai acheté un piano à queue – qui est toujours chez ses anciens propriétaires parce qu'il ne rentre pas dans mon nouvel appartement. J'aurais aussi pu me contenter d'un piano droit mais mis à part ça, je suis assez frugale : je conduis une BMW de 1972 et sors pour manger des choses simples mais délicieuses.

Quel est le plus beau compliment qu'on ne vous ait jamais fait ?
C'était en Russie, on faisait la promotion de « Vincent will meer ». Là-bas, les choses telles que le syndrome de Gilles de La Tourette ou les TOC sont un tabou absolu. Les gens étaient assez troublés parce que nous avons abordé le sujet, dans le film, avec normalité et humour. J'ai fait des rencontres vraiment bouleversantes : il y avait un homme, dont le frère malade compulsif s'était tué, et à travers le film, il avait pu prendre de la distance par rapport à son histoire personnelle, et se rapprocher de la paix qu'il cherchait. On a fait bien plus qu'on n'aurait jamais pu l'imaginer.

On vous dit être un connaisseur en matière de femmes...
Aha.

Petit test : un sondage a été réalisé récemment, les femmes préfèrent-elles être plus attirantes que la moyenne ou plus intelligentes que la moyenne ? A votre avis, qu'a répondu la majorité des femmes interrogées ?
La question est toujours de savoir si elles ont dit la vérité ou pas ! (rires). Je pense que la plupart préfère être plus attirantes que la moyenne.

Exact. Et ce à près de 90%...
Cela serait déterminé de manière similaire chez les hommes. Ce qui tient aussi au fait que l'on a constaté que les personnes plus attirantes ont une vie plus facile. C'est déjà le cas dès l'enfance – il parait que les enfants les plus attirants ont de meilleures notes.

C'était comme ça pour vous ?
Je n'avais rien d'un enfant attirant ! Petit, j'avais une mauvaise vue et je me suis coltiné une paire de lunettes pendant longtemps.

Et on vous a beaucoup enquiquiné ?
Non, je pouvais me défendre assez bien. J'étais embêté seulement chez les Boy Scouts. Comme il y avait une bonne bande de ploucs, je ne pouvais pas m'opposer tout seul. Mais d'une manière ou d'une autre c'est passé – après trois ans...


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