voilàa une trad, j'ai essayé d'être au plus pret:
florian David Fitz en interview : Je ne suis pas Til Schweiger
Florian David Fitz n’a rien d’une page blanche , pendant dix ans il a joué pour des productions télévisées et des films comme "Girls and Girls 2" ou "3 degrés colder». il a même reçu le Prix Grimme pour le téléfilm «Mariage à la turque",. Mais ce n'est que depuis l'année dernière à Munich que sa carrière décolle vraiment: La série amusante "Le Journal de Meg" et a émergé comme un écueil dans "Männerherzen», c’est son premier rôle majeur au cinéma. Il est actuellement dans le road-movie tragi-comique "Vincent will Meer" à la fois en tant qu’acteur -et en tant que scénariste-dans le rôle de Vincent atteint du syndrome de Gilles de la Tourette acoompagné de ses deux compagnons. Fitz, nous avons rencontré pour une interview.
BRASH.de: M. Fitz, vous jouez dans "Vincent will Meer« non seulement dans le rôle principal, mais vous avez aussi écrit le scénario. Comment êtes-vous devenu auteur?Florian David Fitz: J'avais déjà écrit un scénario auparavant. Mais je ne l’ai jamais proposé ce qui est probablement mieux comme ça! Finalement, j’ai fais part de mon idée de « vincent will meer » à mon cousin Ariela Bogensberger, qui a écrit, entre autres, le scénario idéal pour le téléfilm «Dernier Voyage de Maria», et il m'a donné des conseils, et j’ai pris des cours d’écriture. J’ai appliqué ce que j’avais appris et j’ai développé en un an le script avec un superviseur
Cherchiez-vous à faire autre chose ?Florian David Fitz: j'avais envie d'écrire depuis longtemps. J'avais tout simplement envie de créer quelque chose qui me ressemble, et de faire marcher mon imagination. En tant qu’acteur, quand on est sur le plateau, on se rend compte que les scripts auraient pu avoir d’autres versions. L’améliorer en commun est plutôt fastidieux, donc je voulais en écrire un entièrement sans qu’il n’y ait de changements à faire.
Vous semblez être quelqu'un qui s’investit activement et volontairement en tant qu’acteur. Florian David Fitz: En tout cas, je suis quelqu'un qui pense à sa place dans un film et aux échanges avec le réalisateur. Pour moi, ce qu'on pense est important et il ne faut pas seulement suivre les instructions.
Est-ce que les metteurs en scène savent apprécier celà ou vous freine-t-il ?Florian David Fitz: Bien sûr que je n'irais jamais dire à un metteur en scène ce qu'il a à faire. Il n'y a donc personne qui se sente marché sur les orteils, je pense. Il s'agit simplement d’un temps pour poser des questions ou proposer une idée différente. Pour moi, c'est la façon dont j’aime travailler: si chacun s'implique ainsi, le metteur en scène qui est à la recherche d’une fin pourrait trouver ce qu’il attend. Je ne suis pas fan de ceux qui sont coincés dans un costume qui sont juste là pour réciter ses lignes.
On pourrait presque croire que vous aimeriez vous essayer entant que metteur en scène.Florian David Fitz: Je m’imagine assez bien enfait. Mais chaque chose en son temps,
je ne suis pas pressé. Il faut que je mûrisse un peu avant en tant que personne , que je sois plus sur de moi. Et si j’y arrive un jour, alors il faudra soutenir un projet comme "Vincent will meer" , qui vient vraiment du cœur. Mais dans ce cas, je ne pourrais pas jouer le rôle principal, je ne suis pas mégalomane pour tout faire en même temps.
En parlant du coeur: comment en êtes-vous venu à l'histoire de Vincent?Florian David Fitz: Ce n'est certainement pas autobiographique, si vous voulez savoir.les thèmes du film sont vraiment des sujets qui m'intéressent personnellement et qui viennent de mes propres expériences de la vie ou sur la façon de les traiter. En outre, j’ai déjà été en contact avec cette maladie, le syndrome de la Tourette, parce que l'un de mes professeurs en cours en a souffert.
Il ya maintenant dix ans que vous êtes devant la caméra. Mais ce n’est que l'année dernière avec le "Journal de Meg» et «Männerherzen», que vous avez percé. Comment votre vie a-t-elle changée depuis?Florian David Fitz: L'attention portée est une autre. Ni plus ni moins. Je réalise qu’elle est soudainement plus importante. J'essaye de satisfaire au mieux tout le monde, ce qui est évidemment impossible.
Comment vous sentez-vous face à cette nouvelle célébrité ?Florian David Fitz: Les fans sont vraiment gentils, et plutôt détachés. C’est ce qui fait que ma vie privée est agréable.(dans le sens où les fans sont pas hystériques au contraire et le laisse avoir une vie privée à lui) Je crois que celui qui est à l'écran a en quelque sorte un visage différent. Il est rare que l’on me reconnaisse. Cependant, je ne suis pas Til Schweiger - et nous devrions également remercier Dieu de ne pas être à Los Angeles, où se cachent tous les paparazzis. Chez nous, c'est encore assez civilisé.
Vraiment?Florian David Fitz: Bien sûr! Ici personne ne me suit et ne m’abordent immédiatement. Bien sûr, parfois je remarque que quelqu'un chuchote. Ceci est plus rare. Je le remarque plus maintenant probablement parce que je suis célèbre, je reçois beaucoup de courrier en de personnes qui souhaitent obtenir mon numéro de téléphone. Mais il n'y a jamais rien eu de vraiment d’inconfortable.
Et professionnellement? Un changement a surement dû se faire sentir, non?Florian David Fitz: là aussi, je fais plus de choses qu'avant. Tout à coup, les gens qui n’étaient pas sûrs de me vouloir me veulent maintenant. Mon année est déjà programmée. D’autant plus que nous tournons la troisième et dernière saison du « Journal de Meg » ,dès la fin avril.
La série est devenue un véritable succès. Pensiez-vous que ce serait le cas ?Florian David Fitz: Non, pour être honnête. Je pensais déjà à d’autres projets qu'il pouvaient arriver. Mais que ce serait un aussi grand succès quand nous avions tourné le pilote de la série, je n’y aurais pas pensé. Toutefois, il a fallu attendre que toute l'équipe soit constituée. La chimie passait bien tout à coup, et le public l’a forcément remarqué.
Vous aviez plutôt l’habitude de jouer des rôles secondaires, vous êtes maintenant devenu un premier rôle demandé. Est-ce une plus grande pression?Florian David Fitz: Oui, je pense que oui. Je sens la pression, mais plutôt à l'avance. Au travail, j’essaie de l'oublier. Ca me permet d’avancer. Au contraire, je ne travaille bien si je suis sous pression.
Dans une interview vous avez dit que vous ne compreniez pas les femmes. Quelque chose a-t-il changé depuis ?Florian David Fitz: Oui, c’est seulement la façon de communiquer qui est différente être les sexes. Nous les hommes nous voulons trouver l'information qui nous permettrait de se rapprocher d'une solution, tandis que les femmes veulent souvent parler avant. La solution n'est pas aussi importante que le fait d’en parlé (rires)!
Dans « Le journal de Meg » et aussi dans "Männerherzen", il s'agissait des différences entre des hommes et femmes avec un mélange d'humour et de romantisme. Quel côté prend le dessus dans votre vie ?Florian David Fitz : Définitivement l'humour! La connerie l’emporte sur le romantisme. Rien ne se passe bien en essayant de faire une soirée romantisme. Pas de bougies au bord d’une baignoire ne fait particulièrement un moment sur le pliage et la rupture parce que je souhaite les degrés. Pourtant, les moments romantiques sont des cadeaux du hasard, non ?
Vous venez d’avoir 35 ans. Est-ce que vous vous souvenez encore, de comment vous vous imaginiez il y a 10 ans ?Florian David Fitz : Mon Dieu, dix ans avant j’aurais chié dans mon pantalon si j’avais su que je vivrais de ce métier. Si cela continue pendant les prochaines années je serais plus que béni.